
En travaux d’élagage, vous disposez effectivement de différentes méthodes pour prendre soin de votre parc botanique, en fonction de vos besoins. En effet, vous devez tenir compte de leurs espèces respectives, car le traitement des feuillus n’est pas le même que celui des fruitiers. Pareillement, la coupe typique dispensée aux variétés forestières n’est pas identique à celle des plantes d’ornement (palmiers…). L’émondage fait ainsi partie de ces opérations spécifiques pour le taillage d’un arbre têtard de campagne ou bien l’entretien d’un résineux en milieu urbain. Dans cette optique, faire appel à un élagueur confirmé vous sera d’une grande utilité pour mener à bien votre chantier.
Appréhender l’émondage d’’un arbre en têtard
Pour ce faire, la cime est coupée, une fois que son niveau atteint 2 m de hauteur, en vue d’une exploitation cyclique des rejets. A cette distance, vous éviterez notamment que les boutures soient broutées par les animaux de passage. Dans cette optique, voici les différentes étapes à respecter :- supprimer la flèche en hiver, à partir du moment où votre baliveau dispose à 1,30 m du sol une circonférence de 8 à 15 cm.
- Conserver les pousses à proximité de la trace de coupe au cours du printemps suivant.
- Lancer l’émondage entre la période de la mi-décembre jusqu’à la mi-février, au bout de la cinquième année de traitement.
- retirer toutes les branches au niveau de la première coupe, tout en veillant à ce que la tête ne soit pas entamée. Le cas échéant, la cicatrisation deviendra plus compliquée. De la même manière, si vous effectuez une taille trop loin de la cime, des chicots se formeront également.